Connaître « c'est co-naître, naître avec, et bien souvent renaître avec, à la suite d'un violent effort pour rompre les chaînes de la mort recouvertes des apparences de la vie ».
Etrangers à nous-mêmes, aveugles à la curieuse texture et au fonctionnement insolite de ce monde, mais tellement familiarisés avec une prétendue connaissance extérieure, induite par imitation et par projection grâce à la cellule familiale, aux organismes nationaux et internationaux, qu’ils soient religieux, éducatifs ou autres, nous cultivons sans broncher la connaissance des effets et des lois préétablies par une puissante et abstraite autorité. L’objectif étant d’intégrer un moule dans la course folle à l’emploi sans parler du prestige de décrocher un diplôme, susciter les honneurs et les jalousies et « briller » grâce aux titres pompeux de docteur X, maître Y ou professeur Z .
Cependant, malgré l’abrutissement sans fond du monde et dans cette ère de tous les paradoxes et tous les sauts quantiques possibles, une certaine prise de conscience a pu voir le jour, eut le temps de se frayer un chemin en prenant du recul et en remettant tout en question. Il est inutile de souligner ici l’ampleur de cette remise en question car qui lira ou tombera par « hasard » sur cet article, sera forcément impliqué et saura de quoi il est question : il s’agit d’un chamboulement total et absolu de tout ce qui nous a été inculqué et induit depuis des millénaires. Mais faut-il pour autant considérer détenir la connaissance ?
Force est de constater que, dans les deux cas, on est à mille lieues de la connaissance à tellement avoir été programmés ; il serait également utile de savoir qu’on ne sait que ce qu’ils veulent qu’on sache. Ainsi, même s’il est bon de recourir à un moment donné au mental pour faire la part des choses, prendre du recul, voire ce qui se joue à l’échelle microcosmique de notre entendement bridé, de notre ADN atrophié et notre compréhension limitée, cela n’exclut pas une forme de colère qui en découle, de révolte intérieure, de peur, de catastrophisme même, à tellement avoir été leurré, à vouloir automatiquement alerter et réveiller les masses qui s’obstinent à se complaire dans le pays des merveilles.
« Si vous voulez trouver les secrets de l’univers pensez en termes de fréquences, d’énergies et de vibrations » ; selon cette perspective de Nicolas Tesla, il est aisé de voir sur quelles basses fréquences on vibre, qu’on soit totalement abrutis et induits par le système ou qu’on soit chercheur de vérité zélé ou colérique ou endossant le rôle de sauveur ou encore imprégné d’un ego coriace, fier de détenir la connaissance et voulant coûte que coûte briller dans la « vie » et laisser sa trace après la mort.
Pris dans une espèce de trappe, pour ne pas dire « toile » , allusion faite à notre dépendance à la technologie, coup de maître qui va nous achever, nous couper une bonne fois pour toutes de nous-mêmes et de la connaissance, il serait honnête d’admettre que nous ne connaissons rien ni de nous ni de ce monde où les images s’emboitent, mirages qu’on superpose à notre vue pour nous empêcher de vraiment voir et connaître, car désormais on s’affiche trop, on parle trop et on s’y perd dans les dédales de l’illusion extérieure et de la pseudo connaissance obscurcie par le paraître alors qu’au prix d’un effort, vu la complexité de la tâche, on pourrait revenir à soi et glaner toute la connaissance de l’univers en nous-mêmes, dans le silence, l’humilité et la rédemption irreligieuse et sincère !
Toute la connaissance est justement en nous, celle-là même qu’on nous a ôtée en nous coupant de nous-mêmes, en nous divisant en ethnies, en nations, en variant nos langues, en créant des haines et des conflits pour réaliser un plan qu’il ne faut surtout pas alimenter par nos basses vibrations même si certaines vérités ne sont pas jolies à voir et apaisantes à savoir.
La vraie quête de la connaissance n’étant pas mentale, il faut savoir retourner paisiblement en soi, se détacher du leurre de ce monde qui s’est inscrit dans nos plus infimes cellules par programmation comme étant la vie alors qu’il est tout sauf vie, alors qu’il est ignorance sauf connaissance !
A noter que ces dires ne sont pas un renoncement à la vie, mais à l’existence telle qu’on la superpose à notre vue, et l’expression d’une sincère volonté à s’affranchir de la culture de l’ignorance !
Faten
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Commentaires 1
J’avance à tâtons en m’humectant les neurones, sur le point d’exploser, de la texture étrange de ce monde qui revêt toutes les apparences de la vie et me sers du clavier de l’ordinateur en imaginant que je joue une partition,en effleurant les touches d‘un piano, pour me rendre cette technologie qui nous colle aux sens supportable!