Ne le dites à personne, à l’exception des sagesCar la multitude est prompte à railler Je veux louer l’être vivant Qui aspire à mourir dans la flamme Dans la fraîcheur des nuits d’amour Où tu reçus, où tu donnas la vie Un sentiment étrange te saisit, Quand brille l’immobile flambeau Tu ne restes plus...