Déjà Hippocrate, le père de la médecine, voici XXV siècles recommandait pour comprendre l’origine des maladies d’étudier d’abord l’environnement du patient. Lorsqu’il parlait d’environnement, il tenait compte de l’environnement climatique, géographique, physique, et il insistait sur le fait d’étudier attentivement le comportement de l’individu dans sa façon de boire et de manger. Le père de la médecine s’intéressait au terrain de son patient.
Bien plus tard en 1900, c’est en Autriche et plus précisément à Vienne que le docteur Karl Landsteiner découvre le premier les groupes sanguins O, A, B, AB. Il complètera sa découverte avec le système rhésus positif et négatif aux USA avec un de ses élèves Philip Levine. Cette découverte révolutionne le monde de la médecine, car elle donne une explication sur le TERRAIN de l’homme.
En 1952, les travaux d’un biologiste français Jean Dausset donnent au monde médical l’explication d’une autre incompatibilité entre groupes sanguins :
Le système HLA qui est aussi une autre forme de TERRAIN. En assistant à une hémorragie lors d’un accouchement, puis à sa transfusion sanguine pour éviter une mort certaine, il constate que la patiente fait un rejet. Pourtant donneur et receveur sont du même groupe sanguin, et malgré cela un accident d’incompatibilité a lieu. Dausset imagine alors qu’il existe des facteurs sur les globules blancs capables de nous différencier. Le système HLA vient d’être découvert. A titre d’information, sachez que ce dernier compte à lui seul plus de 600 millions de combinaisons.
Curieusement, il faudra attendre trente ans plus tard, en 1982, pour que le Docteur Peter d’Adamo médecin américain fasse à la suite de ses recherches une extrapolation sur l’incompatibilité du sang et de l’alimentation, en ayant à l’esprit le TERRAIN.
Il constate que certains types d’aliments sont plutôt A, alors que d’autres sont B, O, ou AB, et donc s’agglutinent en présence d’un sang incompatible. La digestion a bien lieu, mais pas d’une manière parfaite, et l’individu s’intoxique en mangeant des aliments qui ne lui conviennent pas.
En réalité, il ne s’intoxique pas, mais s’encrasse, on peut alors parler de pathologies d’encrassage, liées à une alimentation non compatible avec le terrain de l’individu.
On peut faire le comparatif avec une voiture neuve, avec laquelle on fait le plein d’un carburant de mauvaise qualité. La voiture roule sans aucun problème pendant de nombreux kilomètres, mais les différents filtres se bouchent progressivement, et la voiture risque de tomber en panne, si le propriétaire du véhicule persiste à l’alimenter de ce carburant de qualité médiocre.
Le corps humain agit de même, si vous l’alimentez avec de mauvais aliments… il dysfonctionne, et parfois gravement.
Dans sa démarche thérapeutique le Docteur Peter d’Adamo ne tient pas compte du système HLA car les combinaisons sont trop nombreuses et il se cantonne au groupe sanguin des globules rouges pour affiner sa thérapeutique, tout en sachant qu’elle n’est pas complète, mais plus précise qu’auparavant.
En ostéopathie, nous traitons de nombreux patients en cabinet avec des résultats positifs, et des échecs, comme tous les praticiens.
Bon nombre d’entre nous sommes toujours à la recherche du résultat optimum.
Pourquoi tel patient que j’ai parfaitement normalisé revient avec la même lésion ? Pourquoi celui ci souffre encore alors qu’il est parfaitement normalisé ?
L’un des paramètres vient de l’ALIMENTATION. Still, puis Littlejohn préconisaient déjà de s‘alimenter correctement. Ils allaient même plus loin en considérant qu’une alimentation déséquilibrée étaient une lésion ostéopathique.
Evidemment ce n’est pas non plus la seule réponse sur le plan thérapeutique, car il faut savoir prendre compte d’autres facteurs comme l’émotionnel le psychosomatique, l’occlusion dentaire, le morphotype, la génétique du patient, le système HLA. A cela rajoutons les paramètres que nous ne connaissons pas et nous aurons fait le tour de la question.
On peut donc d’un point de vue thérapeutique, essayer de mieux cibler nos traitements par une alimentation adaptée au groupe sanguin, et les compléter par une nutrithérapie pour optimiser nos résultats.
Le lecteur peut trouver ce concept un peu farfelu et se poser la question :
Pourquoi un rééquilibrage alimentaire par rapport au groupe sanguin ?
La réponse est pourtant simple :
Chacun d’entre nous porte sur ses globules rouges ou érythrocytes la marque A, B, O, ou AB.
Si Jules de groupe A, ne tolère pas qu’on lui transfuse le sang de Bertrand, de groupe B, c’est parce que son sang contient naturellement de véritables missiles anti-B, concoctés par son système immunitaire et qui s’attaquent aux globules rouges de Bertrand arborant la marque B.
Résultat, les deux sangs mélangés coagulent et forment de dangereux caillots dans les vaisseaux. Il en est de même avec l’alimentation et certains nutriments qui sont incompatibles avec le groupe sanguin.
Mais aussi parce que l’agriculteur qui cultive une plante dans un champ ne met pas le même engrais en fonction de la composition du sol, du TERRAIN. L’apport en engrais est différent si le sol est argileux, schisteux, ou calcaire…
L’ostéopathe pour avoir une démarche holistique, dans la lignée de Still, et de Littlejohn, se doit d’équilibrer par la nutrition le complexe acido-basique, et combler les carences qui finalement sont les grands responsables de l’homéostasie du corps, car c’est le TERRAIN qui compte !
Pour la petite histoire on raconte que Pasteur sur son lit de mort a dit :
« C’est Claude Bernard qui avait raison, le microbe et le virus ne sont rien, seul le Terrain compte ! »
Alors occupons nous du terrain par l’alimentation et la nutrithérapie.
La nourriture de l’un est le poison de l’autre.
Combien de fois avez-vous pu constater que ce que vous digériez bien votre voisin lui ne le pouvait pas ? Mais aussi que certaines personnes perdent du poids avec un régime donné, et d’autres pas du tout.
Tout cela n’est pas du hasard, et dépend de votre code génétique. or qui mieux que le sang marque votre empreinte génétique et nous indique par son immunoglobuline votre terrain.
Si vous vous laissez guider par votre groupe sanguin pour votre alimentation et votre mode de vie, vous vous porterez mieux, vous vous maintiendrez à votre poids idéal et vous ralentirez le processus de vieillissement de votre corps.
Chaque groupe sanguin contient le message génétique de l’alimentation et du mode de vie de nos ancêtres, et bon nombre de ces caractéristiques nous affecte encore.
Le nom de votre groupe sanguin est celui de l’antigène donc vos globules rouges sont porteurs.
Le système antigénique est primordial pour bien comprendre l’importance de l’alimentation dans notre santé. En présence d’un antigène étranger dans votre organisme les antigènes de votre groupe sanguin produisent immédiatement des anticorps pour combattre l’intrus. Il se produit alors une réaction d’agglutination, c’est à dire que les anticorps s’agrègent aux intrus pour les rendre collants et repérables ce qui facilite leur élimination.
Cette facilitation à s’agglutiner est majeure entre les groupes sanguins. Enfin on a compris que certaines personnes pouvaient échanger leurs sangs alors que d’autres ne le pouvaient pas. On sait ainsi quels groupes sanguins sont identifiés comme amis et d’autres comme ennemis.
Au delà du sang il en est de même avec les aliments. En effet nombres d’entre eux suscitent un processus d’agglutination mais pas dans tous les groupes sanguins. Ce qui signifie qu’un aliment exerçant une action néfaste sur les cellules sanguines d’un groupe, peut être bénéfique à celles d’un autre. Comme par le plus grand des hasards la plupart des antigènes des aliments ressemblent beaucoup aux antigènes A et B. Il y a donc un lien tangible en votre groupe sanguin et votre alimentation.
Cependant, certaines personnes ayant une alimentation non adaptée à leur groupe sanguin n’auront pas de réactions car leurs capacités d’adaptation sont très importantes, par contre d’autres feront allergies, arthroses, maladies auto-immunes, cancers. Une alimentation adaptée à leur groupe sanguin modifiera le terrain et améliora ou stoppera la symptomatologie, mais dans notre société moderne il s’agit d’un choix de vie qui n’est pas forcément facile.
Le choix d’une alimentation en fonction de votre groupe sanguin fonctionne parce qu’il propose un plan d’action logique, scientifiquement établi et prouvé, et correspondant à votre profil cellulaire.
On distingue au niveau alimentaire trois qualificatifs :
Le groupe O est le groupe sanguin le plus ancien environ 40 000 ans av J.C. La plupart des premiers hommes appartenaient tous au groupe O, et vivaient de la chasse (insectes, animaux), de la cueillette (baies, racines, feuilles).
Le groupe O constitue un cas à part car il ne possède aucun antigène, d’où son nom. C’est un moyen mnémotechnique pour se rappeler que ce groupe possède zéro antigène.
Pour les personnes du groupe sanguins O le mode de vie idéal associe une alimentation hyperprotéinée à une activité physique intensive.
Précisons tout de même que les viandes consommées aujourd’hui sont trop grasses et contaminées par l’usage des hormones et des antibiotiques et favorisent les maladies cardio-vasculaires et les cancers. Il faut donc, quand on le peut, privilégier les viandes issues de l’agriculture biologique et celles qui sont maigres.
Les individus du groupe O supportent mal les laitages et les céréales car leur appareil digestif n’est pas adapté à « ces nouveaux aliments ».
D’après les livres : 4 groupes sanguins 4 régimes du Dr Peter J.D’Adamo aux éditions Michel Lafon
L’alimentation anti-oxydante du Dr Serge Rafal aux éditions Marabout
Le groupe A est apparu en Asie et au Moyen Orient environ 25 000 av J.C. Le A est similaire à celui de ses ancêtres, les premiers cultivateurs sédentarisés, et il doit avoir une alimentation de type végétarien. Les groupes sanguins A supportent mal l’alimentation hyperprotéinée riche en viande, le laitage crée aussi chez eux une hypersécrétion de mucosités dans les sinus et les voies respiratoires. Enfin les sucres blancs raffinés leurs sont aussi néfastes.
Pour une meilleure santé le groupe A doit consommer des aliments aussi proche de la nature que possible, frais, purs et issus de l’agriculture biologique quand c’est possible. Les personnes A ont une prédisposition aux affections cardiaques, aux cancers et au diabète. Une alimentation adaptée à leur groupe sanguin permettra de diminuer les risques, ou de stabilisée les pathologies en cours, et même de les améliorer.
D’après les livres : 4 groupes sanguins 4 régimes du Dr Peter J.D’Adamo aux éditions Michel Lafon
L’alimentation anti-oxydante du Dr Serge Rafal aux éditions Marabout
Le groupe B est apparu sur les hauts plateau de l’Himalaya environ 15 000 av J.C.
Dans l’ensemble les personnes du groupe B sont vives et solides, résistent bien à la plupart des maladies graves du monde moderne. L’alimentation du B est équilibrée, proche de la nature et inclut un grand éventail d’aliments. Il englobe le meilleur du règne animal O, et du règne végétal A.
Notons que le groupe B est le seul groupe sanguin qui autorise la consommation d’une grande variété de laitages.
D’après les livres : 4 groupes sanguins 4 régimes du Dr Peter J.D’Adamo aux éditions Michel Lafon
L’alimentation anti-oxydante du Dr Serge Rafal aux éditions Marabout
Le groupe AB est un mutant, c’est aussi le plus rare, le plus récent, et il apparaît vers l’an 900 soit 10 à 12 siècles.
Le groupe AB est d’une grande complexité biologique. Il a hérité à la fois des caractères du groupe A et celui du groupe B, il affiche un système immunitaire performant et apte à produire des anticorps spécifiques en cas d’agression microbienne. Ils sont en revanche prédisposés à certains cancers car le groupe AB considère tout agent ou cellule ressemblant au A ou au B comme ami, si bien qu’il fabrique moins d’anticorps.
D’après les livres : 4 groupes sanguins 4 régimes du Dr Peter J.D’Adamo aux éditions Michel Lafon
L’alimentation anti-oxydante du Dr Serge Rafal aux éditions Marabout
Rien n’est plus parlant qu’un exemple. Pour cela je voudrais vous présenter le cas le plus révélateur d’une pathologie d’intoxication qu’il m’a été donné de traiter.
La patiente Véronique B, 30 ans, célibataire, sans surcharge pondérale, m’avait été envoyée par une podologue, car cette patiente souffrait de lombalgies chroniques invalidantes avec des épisodes aigus depuis 3 ans.
Elle ne pouvait plus marcher plus de 400 mètres sans devoir s’arrêter à cause des douleurs. Faire les courses lui devenait pénible, car elle devait soulever des sacs, et qu’elle n’en était plus capable.
Les douleurs étaient telles qu’elle refusait les sorties avec ses amis. Elle ne pouvait plus danser, ni rester trop longtemps debout à soutenir une conversation. Les activités sportives n’étaient plus possibles, et évidemment elle déprimait, car elle avait toujours été très active et plein d’entrain.
En résumé un vrai calvaire.
Son dossier était particulièrement imposant. Une flopée d’examens, radios, scanners, IRM, prise de sang, scintigraphie avaient été faites depuis 3 ans. Elle avait aussi suivi de nombreuses consultations en tout genre, et avait été examinée par de nombreux spécialistes, rhumatologues, neurologues, psychiatres, radiologues… sans succès. D’un point de vue thérapeutique elle prenait journellement des doses de cheval en anti-inflammatoires, et en anti douleurs, sans amélioration notable.
Son cas décontenançait les médecins qui l’avaient auscultée. (généraliste, rhumatologue, neurologue, psychiatre…)
Incapables du moindre diagnostic, elle avait été hospitalisée pendant une semaine pour un check up complet. Le diagnostic final était sans appel : sclérose en plaque atypique, et on lui avait déconseillé d’avoir des enfants. Pourtant, ses examens ne présentaient aucun signe de SEP.
En désespoir, on lui avait prescrit des semelles orthopédiques… « pour voir si cela pouvait apporter une certaine amélioration de sa symptomatologie. »
La podologue, aussi désemparée que tous les médecins qu’elle avait consulté, lui avait conseillé de voir un Ostéopathe, au cas où !
C’est comme cela que Mme B est amenée à consulter un ostéopathe.
Après un interrogatoire sur l’origine de sa maladie, j’avais examiné sa dernière radio, un bassin de face.
Incroyable, j’avais déjà une partie de la solution.
La radio montrait des gaz très importants dans les intestins, et des matières fécales d’une façon anormale.
La première question que je lui ai alors posée, était la suivante :
Vous arrive t-il d’avoir des douleurs au ventre ?
Sa réponse fut floue : Non pas vraiment ? Il fallait insister sur le « pas vraiment » en l’interrogeant plus précisément !
Lui arrivait-il d’avoir des douleurs abdominales de quelques secondes à quelques minutes ?
Cette fois surprise ! Effectivement il lui arrivait d’avoir des douleurs abdominales qui l’obligeaient à se plier en deux pour se soulager… « mais cela se passait au bout de quelques minutes… mais enfin comme tout le monde, rien d’anormal ! »
Très vite nous avons orienté nos questions vers l’alimentaire.
Elle était d’un groupe sanguin A et adorait la viande et la charcuterie qu’elle mangeait tous les jours, et elle s’auto intoxiquait. (acidose)
Les muscles para vertébraux étaient durs et spasmés. Je l’ai donc traitée classiquement par un traitement général d’ostéopathie doux puis par un travail structurel (équilibration du bassin, des lombaires, des dorsales et des cervicales), puis viscéral. (travail sur le gros et petit intestin, et par un pompage du foie)
Après une explication de notre théorie, je lui ai conseillé une alimentation de type A en supprimant d’une façon très sévère tous les aliments carnés pendant une durée de 3 semaines. La patiente a alors été traitée de nouveau en ostéopathie par deux fois. Les traitements ont été espacés de 3 semaines puis de 4 semaines.
En deux mois nous avions réglé le problème, là où la médecine moderne n’avait pas donné de résultats.
Enfin, elle ne prenait plus de médicaments, elle ne déprimait plus… elle revivait !
Son médecin généraliste n’en revenait pas… et ne comprenait pas ! Depuis je vois cette patiente une à deux fois par an depuis deux ans pour un travail ostéopathique de prévention, et elle se porte bien. Elle a repris le sport, le bricolage, s’est mariée, et a eu un petit garçon ! Attention ami lecteur, il s’agit d’un cas exceptionnel !
Cette lecture permettra à l’étudiant et au praticien chevronné de comprendre pourquoi l’alimentation à un rôle essentiel dans le traitement médical ou ostéopathique. Il vous sortira de la caricature : « Vous devez cesser de consommer des produits laitiers ! » Réactions propres aux ostéopathes et aux homéopathes mais sans autres explications. Vous affinerez une solution à chacun par une alimentation personnalisée en fonction de son groupe sanguin.
Nous conseillons à tous nos patients victimes de pathologie d’encrassage de tendre vers cette alimentation en évitant les aliments toxiques, surtout s’ils sont pris d’une façon régulière.
Cette méthodologie permet un retour plus rapide à l’équilibre et vous aidera à soulager plus efficacement les torticolis, les lombalgies, les sciatiques, les migraines, les lésions ostéopathiques récidivantes… qui ne sont pas d’origine mécanique mais d’origine toxémique, et il y en a !
Pour certaines pathologies chroniques comme l’arthrose, les migraines, la maladie de Crohn… il en est de même. On peut améliorer le terrain mais soyons réaliste ne parlons jamais de guérison, et nous resterons sérieux.
Dans ces pathologies dites d’encrassage, la lésion primaire est l’Alimentation.
Votre traitement ostéopathique, aussi performant soit-il, n’est alors qu’un cataplasme sur une jambe de bois si vous ne pensez pas à rééquilibrer la nutrition de votre patient. Avec un peu de bon sens vous pouvez affirmer :
« dites moi ce que vous mangez et je vous dirai comment est votre santé. »
N’oubliez pas que
« bien manger c’est se soigner. »
Professeur Bernard.
Ajoutons pour conclure notre article que
« ce qui chez l’un est nourriture s’est révélé pour l’autre un amer poison. »
Lucrèce.
BIBLIOGRAPHIE
Dr Peter J.D’Adamo 4 groupes sanguins 4 régimes aux éditions Michel Lafon.1996.
Pr Jean Bernard La légende du sang aux éditions Flammarion 1992
Pr Michel Massol La nutrithérapie aux éditions PUF 1998.
Jean-Louis Pasteur toutes les vitamines pour vivre sans médicaments. Aux éditions j’ai lu 1991.
Dr Serge Rafal L’alimentation anti-oxydante aux éditions Marabout. 2000.
Dr Jean Seignalet L’ALIMENTATION ou la troisième médecine aux éditions Ecologie Humaine François –Xavier de Guibert 1998.
John Werhnam Notes sur les principes de l’ostéopathie par J.M Littlejohn édité par la clinique ostéopathique de Maidstone 1974.
Source : rustyjames.canalblog.com
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Commentaires 3
Tiens c'est rigolo, j'ai justement il y a quelques jours mis en vente d' occasions mes 2 livres d' Adamo ... je dois les avoirs depuis 7 ou 8 ans je mémoires ...
Très pertinent en ce qui me concerne (groupe A), j'en étais arrivé aux mêmes conclusions moi-même, mais après pas mal de tâtonnements.
Merci de votre présence et de vos commentaires..